Les Marsupilamis nous reviennent plus joyeux que jamais dans une aventure exotique et rafraichissante mais qui, hélas, s’arrête brutalement!
Merci à Ocellus Studio et Microïds qui nous ont gratuitement fourni une copie du jeu afin d’en faire la couverture médiatique et le test. L’éditeur/développeur nous autorise par conséquent à diffuser et/ou utiliser des extraits du jeu pour nos besoins de production et n’intervient d’aucune façon dans l’attribution de la note finale. #Article13Free
Cela démarre bien
Frapper, Twister et Hop, nos trois Marsupilamis mènent toujours une vie paisible en Palombie! Alors qu’ils jouent sur une plage, ils découvrent les restes d’un sarcophage. Mais celui-ci est maudit et, en l’ouvrant, ils libèrent à leur issu un terrible fantôme qui jette une malédiction sur tous les animaux. toutefois les Marsupilamis n’en restent pas là et partent sur le champ à l’aventure afin de ramener ce épouvantable spectre là d’où il n’aurait jamais dû sortir!
De belles retrouvailles avec la BD, mais…
Après 26 ans d’absence tout de même (version Megadrive) les Marsus reviennent nous proposer un jeu de plateforme comme on les aiment. Certes il y a du Donkey Kong Returns, certes il y a du Crash Bandicoot avec ces succulents fruits, mais peut-on reprocher à un jeu de s’inspirer des maîtres en la matière? C’est toujours agréable de retrouver un jeu de plateforme, un vrai runner, maitrisant jouabilité, visuels chatoyants, le tout dans une ambiance musicale envoutante. Un jeu qui flatte par sa plastique et qui respecte l’esprit de Franquin. Sur tous ces points il n’y a rien à redire.
On avance dans une aventure qui passe à toute vitesse et qui nous donne envie d’aller toujours plus loin à travers des tableaux variés et luxuriants. Seulement voilà, c’était trop beau car on en arrive vite au bout. On reste même hébété lorsque le dernier boss est vaincu. Alors on cherche, on s’excite, en espérant trouver l’explication. Mais non, il n’y a que 3 pauvres mondes, soient 20 niveaux, ni plus, ni moins. Et là un sentiment de frustration nous prend à la gorge car on se rappelle de tout ce que l’on a vécu dans cette aventure si jolie contenant moultes surprises. Pourquoi s’arrêter là? Pourquoi nous laisser pantois presque ahuri devant si peu d’ambitions? Inconcevable.
Quelle déception
Tout y était ou presque dans Marsupilami: Le Secret du Sarcophage. On aurait pu s’amuser avec nos Marsus des heures et des heures comme dans un Donkey Kong Returns, pour ne parler que de lui. Mais non. Microïds nous le refuse et nous laisse seul face à notre frustration et l’agacement qui va de paire. Belle déception.
Pour connaitre les critères de notre système de notation, visitez cette page.
Prenez note que la version testée est celle sur PC. Le jeu est également disponible sur PS4, Xbox One et Switch. Il est aussi compatible avec PS5 et Xbox Series.
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