Suite tant attendue de Dying Light, Dying Light 2: Stay Human est un autre jeu à monde ouvert divertissant proposé par Techland si ce n’est qu’il faut modérer nos attentes par rapport à son originalité.
Merci à Techland qui nous a gratuitement fourni une copie du jeu afin d’en faire la couverture médiatique et le test. L’éditeur/développeur nous autorise par conséquent à diffuser et/ou utiliser des extraits du jeu pour nos besoins de production et n’intervient d’aucune façon dans l’attribution de la note finale. #Article13Free
Le plaisir généré par un variant d’un dangereux virus
Très attendue des fans de Dying Light, sa suite n’en aura pas moins été ponctuée par de nombreux délais. Or, Techland nous offre finalement cette aventure dont la durée de vie fut l’objet d’une certaine risée peu avant son lancement.
Prenant place une vingtaine d’années après les événements du premier jeu, Dying Light 2: Stay Human vous plongera dans les souliers du pèlerin Aiden Caldwell. Alors que le monde n’a pu combattre la propagation du variant d’un dangereux virus, Caldwell tente d’aider les derniers campements humains en livrant des ressources là où elles sont requises. Or, derrière cet acte de bonté se cache un objectif beaucoup plus personnel, soit celui de retrouver le scientifique fou ayant mené d’atroces expériences sur des enfants, incluant Aiden et sa soeur.
Si le scénario de Dying Light 2 est bon au niveau de sa trame narrative principale, il n’en demeure pas moins affligé par une écriture un peu plus boiteuse lorsqu’on rencontre des personnages secondaires. Involontairement caricaturaux, ces derniers vous laisseront l’impression que le monde n’est habité que par des humains aux facultés intellectuelles douteuses. Qui plus est, l’aventure se termine sur une note tellement clichée que vous roulerez probablement des yeux.
Ceci dit, Dying Light 2 n’en demeure pas moins un jeu de zombies à monde ouvert fort divertissant. Certes, on peut lui reprocher un manque d’originalité puisqu’il réutilise la majorité des mécaniques de son prédécesseur. En revanche, c’est un excellent divertissement dans lequel vous retrouverez une panoplie d’activités à compléter, de missions à entreprendre et de ressources à récolter. À cet effet, le jeu met davantage d’accent sur la récolte de butin (loot) et offre énormément d’armes modifiables avec lesquelles se défendre.
Par ailleurs, alors que les excursions de nuit pouvaient être évitées dans Dying Light, elles sont recommandées dans Dying Light 2. Non seulement vous permettront-elles de mettre la main sur des ressources plus précieuses, mais elles vous confronteront aux moments les plus intenses et angoissants de votre quête. En outre, de nouveaux niveaux de poursuite rendront les excursions encore plus intenses, d’autant plus que vous devrez surveiller l’avancée du virus dans votre corps une fois dans la pénombre.
En somme, sans être le grand jeu tant attendu, Dying Light 2 n’en demeure pas moins un bon jeu de zombies à monde ouvert. On ne s’en souviendra peut-être plus dans quelques années, mais vous vivrez tout de même un bon moment au cours des dizaines d’heures que vous investirez dans cet univers rempli de zombies !
Verdict
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Prenez note que la version testée est celle sur PlayStation 4/PlayStation 5. Le jeu est également disponible sur Xbox Series/Xbox One et PC.
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